• Intro

    L'idée de faire un blog sur ma progression en tant que runneuse à germer pendant que je lisais tranquillement le livre d'Anne & Dubndidu. Je me disais que ce serais une motivation supplémentaire pendant mes périodes de "mou". 

    J'avais déjà plusieurs fois essayer de courir. Toujours dans le même but, perdre du poids, mais la motivation s'est rapidement envolé, ne voyant pas de résultats.

    Je détestais le  sport. Vraiment. Et je me cachais derrière mon asthme pour ne pas courir ou ménager mes efforts en EPS. Finalement, après avoir pris Trente kilo, mon amour propre au plus bas, je regardais The Island devant une bonne glace. Une des participantes avait alors dis qu'elle faisait plus de cent kilo,et que juste en courant, elle avait réussi à revenir à un poids normal. Je pense que le déclique, le vrai, pas la lubie de début d'année, à eu lieu.

    Donc depuis un peu plus d'un mois, je cours. Comme je l'ai dis, je suis asthmatique et à ma plus grande honte, en surpoids puisque je pèse quatre vingt dis huit kilo. Je me cache dans des vêtements ample, mais essayer de cacher votre corps gras dans des vêtement ample quand en plus d'être grosse vous êtes grande. Il y à quatre ans, je méttais du 40 en pentalon, et du M en t-shirt et autre. Maintenant, je met du 44 en haut et je ressemble à une dinde dans mon jean 44.

     

    1M81 pour 98 kilo. C'est la honte. Qu'est ce qui est le plus dure? Se voir dans le miroir, ventre à double bourelet, fesses énorme, ressemblant à la face caché de la lune à cause de la peau d'orange, bras qui ont grossis, le double menton qui se dessine les doigts qui commencent doucement à ressembler à des chapelets de saucisses. Ou alors, ne plus rentrer dans ses vêtements ET ne pas trouver de pantalons à sa taille...

    Tout cela est relativement difficile à vivre. Mon  amour propre au plus bas, la honte de montrer mon corps à mon compagnon... J'ai enfoncer mes baskets et je suis parti courir. Honnêtement, j'ai chier ma galette. Mes jambes étaient lourd, mon souffle court et ma respiration douloureuse. J'ai été gourmande et me suis lancer dans une course de 9 kilomètres. Je n'ai presque rien couru, Complètement essoufflée, les jambes qui tremblaient, une douleur abominable alors que je respirais. 

     

    Je faisais mes petites excursions trois fois par semaines, courant un peu plus à chaque fois.  Puis j'ai lu ce livre. " La magie du running; le guide pour ne plus s'arrêter!" D'Anne & Dubnidu.  Je me suis rendue compte que je faisais une rosse erreur. Je courrais trop et finalement, ce qui devais arriver arriva, une douleur venant du devant de ma jambe; La périostite tibiale. Sans rire, ça fait vraiment, mais alors, vraiment mal. 

     


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